Andre Nicolas Smith : deuxième éveil...

L'odeur de pain frais provenait d'une boulangerie proche. En arrivant devant la porte, André Nicolas la trouva ouverte. La presque totalité des pains exposés sur les rayonnages était moisis à l'exception de 5 pains briochés disposés sur un rayonnage. Juste derrière le comptoir, assis sur une chaise, le corps en partie couché sur le comptoir, un corps, probablement celui de la boulangère se décomposait lentement... Pour atteindre les pains, il fallait soit passer à proximité du corps...

Mouais même si l'odeur est attirante sa cocote pas bon

tant pis j'ai trop la dalle j'essaye de trouver un objet pour que la porte ne se ferme totalement si elle se referme ensuite je fonce sur un pain brioche

André Nicholas eut soudainement une vision ; une préscience instinctive. Non seulement, il eut connaissance de la progression du Mur Temporel (voir autre post sur le forum), mais aussi la vision de quelqu'un qui venait vers lui... hélas, il n'en sut pas plus...


Celui qui vient :

Vite une planque pour l'attendre derrière le comptoir on va pas faire que fuir t'es un homme grunge.
Une fois derrière le comptoir je regarde pour me placer de façon qu'il y aie pas moyen de venir derrière moi. et je cherche toujours un objet pour me defendre

André Nicholas put se saisir d'un couteau à tarte sur le plan de travail derrière le comptoir. Le cadavre ne bougea pas d'un poil.

Au dehors, la rue restait déserte. Aucun signe de l'arrivée d'un homme masqué coiffé d'un chapeau. Les minutes se succédaient inlassablement sans que rien ne vienne troubler l'attente d'André Nicholas...

je me relève de derrière le comptoir en scrutant les alentours et commence a fouiller la maison et si je ressent la présence et la vision je me concentre pour essayer de communiquer avec

En se relevant, André Nicholas eut de violents hauts le cœur et commença à cracher de la bile mélangée à de la pâte de pain brioche... dans laquelle pataugeaient des moulons.

La tête lui tournait et il avait la désagréable impression que quelque chose d'étranger vivait en lui, se développait à une vitesse inimaginable.

Une horde de larves avides de chairs humaines, prêtes à dévorer ses entrailles !!!

Spoiler:

oh non beurk je le savais que je devais pas y penser trop a cette bouffe de merde

Spoiler:

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'D100' :

Résultat : 58

André Nicholas se remit à vomir de plus belle. Presque l'intégralité de ce qu'il venait de manger. Plus autre chose. Une horde de vers inimaginablement horribles... avec de drôles de petites têtes humaines !

Il en restait sans nul doute encore en lui. Il le sentait.

Les petites bêtes cherchaient à s'échapper de leur fange en se traînant et en hurlant des cris de désespoir à peine audibles. Certaines d'entre elles avaient des visages vaguement familiers...

vite vomir encore je met met doigts profondément dans la gorge.

Ensuite j'essaie de trouver un bocal avec couvercle pour récupérer quelques ver.

Jle savais que c’était un attrape nigaud grrrrrrrrrr et me suis faire couillonner encore c finit on me m'y reprendra plus allez grunge on reprend ses esprit et on cherche quelqu’un ou quelques chose marre d’être seul

Vomir plus était extrêmement douloureux. Plus rien d'autre que de la bile et du sang ne daignait sortir. Un monde normal aurait été souhaitable. Un bon lavage d'estomac était sans nul doute conseillé.

Il ne fut pas difficile pour André Nicholas de trouver un bocal sur les étagères poussiéreuses de la boulangerie. Il se saisit ensuite des vers ; gras et putrides, qui cherchaient à lui échapper. Parmi ceux-ci, il en fut un, avec le visage d'une jeune fille à la mèche mauve, qui tenta de le mordre au doigt en se recroquevillant sur lui-même. Ce fut un échec et il finit sa course dans le bocal à son tour...

Autour de lui, un silence mortel régnait toujours dans cette ville abandonnée de toute vie, il lui restait à décider où aller...

Bon allons essayer de trouver une épicerie ou une réserve de nourriture pour se rassasier un peu mais seulement des conserves et a voir l’état en ouvrant tout en essayant de ressortir de cette maudite ville

Soigner le mal par le mal était une idée en soi. L'œil attentif à ce qui pouvait se passer au dehors, André Nicholas quitta la boulangerie. Il chercha du regard ce qui pouvait s'apparenter à une épicerie ou une réserve mais rien n'était à vue de là où il se trouvait. Il allait devoir se déplacer dans la ville , maintenant recouverte d'une brume inquiétante (la neige avait presque fondu et formait une boue dégueulasse) qui n'augurait rien de bon.



Il distinguait encore vaguement la maison du directeur au loin dans le brouillard. Puis, il entendit quelque chose comme une pièce métallique jaillir de ce côté là de la rue et rebondir de nombreuses fois, roulant jusqu'à ses pieds.

Je ramasse la pièce métallique et je vais dans la direction d’où elle est venue
allez affrontons un peu se qui se passe ici grunge prend ton courage a 2mains et fonce.

Tandis qu'André Nicholas s'avançait en direction de la maison du directeur de l'université, la brume s'épaississait encore.

Tout alentour, il y avait comme des semblants de chuchotements, des sortes de petites voix d'enfants qui n'inspiraient rien de bon.

Bientôt, il se trouva non loin de la maison et aperçut un homme avec un long imper et un chapeau, celui de sa vision. Il discutait avec un autre individu, sur le perron de la porte d'entrée. Eux ne l'avaient pas encore aperçu.



Mais à la fenêtre de l'étage, quelqu'un d'autre l'observait...

je m'avance vers les 2 hommes : bonsoir messieurs j'en aie marre de courir a gauche a droite et de vous voir dans mes pensées ( en montrant la personne avec son chapeau) donc je viens directement a vous.
Je reste malgré tous a distance et reste prêt a me défendre au cas ou