Slone Greasson (épisode 01)

13 JUIN 2012 . . .

Quelque part en Russie, dans une petite ville que nombre de cartes ont oublié de mentionner...

Slone avait passé une nuit agitée, pleine de rêves étranges peuplés de zombies, de nazis, des cauchemars de fin du monde, d'apocalypse aux cieux rouges sang, de monstres sanguinaires et de spectres menaçants, d'immondes larves aux tentacules suintants de pus se faufilant dans les ombres entre les réalités...

Il s'éveilla en sursaut, le front plein de sueur, le t-shirt auréolé. Le réveil sur la table de nuit indiquait 07H01. La télé de la chambre de l'hôtel était allumée mais il n'y avait pas de programme diffusé. Il n'y avait que des parasites qui grésillaient comme des mouches grouillant sur un cadavre. On pouvait presque y entendre des chuchotements lointains...

Slone était venu si loin à l'est pour aller enquêter avec le Colonel Heightman sur un village fantôme qui émettait d'étranges signatures satellites. Ils étaient accompagnés dans cette mission de deux personnes.

Angelica Ward (Sharon Stone) experte en phénomènes paranormaux :


et
Charlie Dexter (David Morrissey) (ex flic) ; spécialiste dans les technologies liées aux travaux scientifiques & parapsychologiques :


Angelica et Charlie entretenaient une liaison. Ils dormaient deux chambres plus loin. Le Colonel devait les retrouver fin de matinée au restaurant de l'hôtel. Ils devaient prendre le train début d'après midi pour ce village perdu au milieu des bois et des campagnes...

Le coeur de Slone commençait seulement à se calmer mais la tension restait palpable. Quelque chose allait se passer incessament sous peu...

CLIQUER SUR SPOILER :

Spoiler:

Un plafond craquelé certainement blanc à une certaine époque au milieux une ampoule entourée de toiles d'araignées:

1° VISION je viens d'ouvrir les yeux,1° sensation j'ai froid . Le peu de lumiére qui transpire à travers les tentures chétives me fait mal aux yeux (pourtant je n'ai pas exagéré sur la Vodka dite production locale parait-il) J'ai une affreuse nausée, mes mains tremblent un peu il est vrai que parfois je fais des rêves étranges et stressant et cette nuit j'ai été gaté. toujours ces images incohérantes, et sanglantes mais tellement réelles. Je le sais mes nausées sont liées à mes rêves mais je ne veux pas y croire franchement parfois le fait de m'endormir m'angoisse

BORDEL DE MERDE cette putain de télé me fais chier, j'ai envie de lui coller une balle de 9 mm; non calmement je me léve et l'éteins. Restons ZEN: peut-être que dans ce trou perdu du fin fond du fond de la Russie le fait d'abattre une télé est passible de mort (c'est vrai que depuis quelques années sur notre terre les choses changent et surtout se transforment, mais pas en bien . Le monde est un véritable bordel)En m'approchant de la télé d'êtranges murmures attirent mon attention En me concentrant pour écouter si je peux entendre quelque chose de compréhensible ( )



Voilà j'ai éteint cette chose qui ressemble à une TV Suis encore dans le gaz je me frotte vigoureusement le visage à l'aide de mes 2 paumes. Mes paupiéres sont lourdes , j'ai des crampes dans le cou. Je me dirige vers le lavabo légérement bancal, l'eau coule aussi grasse que de l'huile mais froide. Vu l'état de l'essuie-main je m'essuie avec mon mouchoir. Je viens de me rendre compte que j'ai dormi habillé et avec mon Hoster je sors mon arme. Ce contact me rassure je la replace dans sa gaine. Je me dirige vers la fenêtre j'ouvre les tentures...

En ouvrant, la lumière me fait l'effet d'un flash , lentement j'ouvre mes paupières.

Que me réserve la vue sur l'extérieur

L'hôtel, c'est vrai, avait été choisi plus par discrétion et facilité que pour son excès d'hygiène.

De toutes façons, la ville dans laquelle ils se trouvaient n'était pas non plus de dernière fraîcheur, quelque peu abandonnée par le gouvernement, préoccupé par "plus urgent".

Isolée des grandes métropoles, elle était la proie de la pauvreté, de la délinquance et de la corruption. Mais elle était d'un luxe incroyable ; dernière escale avant leur destination : un village fantôme perdu au milieu de nulle part, dans des forêts montagneuses que traversait une rivière de sinistre réputation.

Encore troublé par ses apocalyptiques visions, l'esprit de Slone nageait dans les eaux troubles entre l'éveil et l'onirique.

Les mouches qui dansaient un macabre halali dans l'écran de la télévision n'arrangèrent pas sa situation. Quand il s'approcha de l'appareil pour l'éteindre, les murmures cachés derrière le brouhaha animal devinrent plus compréhsibles...

"...té ... vi... si... vou... lé... ous... rir... paaaar... t... ite... di... vou... zaaallé..."

Slone en arriva à quelques conclusions quand l'écran de la télé sembla se bomber brutalement vers lui. Une main semblait vouloir s'extirper de la machine et le saisir. C'est alors qu'il l'éteignit et fit deux pas en arrière.

Plus rien.

Slone a t'il fait un rêve éveillé ?

Après s'être rincé le visage, esperant retrouver des esprits plus sereins, il se dirige vers la fenêtre et ouvre les tentures. Au dehors , la ville. Mais dans le ciel...



07H12... heure locale...

Le ciel se couvrait de nuages gris à perte de vue. Par delà cette masse une lueur rouge semblait se propager tandis que les vapeurs tombaient du ciel vers la terre , tels des tentacules immatériels ; brisant des fenêtres et saisissant des gens là en bas. Un léger tremblement commençait à se faire ressentir dans la chambre. La vitre vibrait de plus en plus fort, les breloques sur la cheminée gigotaient...

Dans la rue (qui malheureusement était à peine visible d'ici), il y a avait comme une plainte qui s'élevait...

J'aurais préféré être ailleurs par exemple chez moi bien au chaud que dans cette chambre sordide, je sors à peine de mes cauchemars de la nuit . Et me voilà agressé par une TV digne du tiers monde,d'ailleurs cette région c'est le tiers monde en pire encore ...Après avoir éteint la TV au moins le bouton ON/OFF fonctionne, l'image a disparu enfin, ainsi que ses grésillements bizarres qui tournent en boucle dans ma tête étrangement cela me semble me dire quelque chose du style : télévision..si vous voulez mourir... partir vite,actuellement le reste me parait trop confus pour en tirer une traduction +/- correct. Ai-je révé ? Ceci est-il réel? Tout se bouscule dans mon cerveau mais je dois rester concentré pour la mission qui m'attend avec sur les bras ces deux civils et amants de surcroit. Je me rince encore le visage pour essaier de sortir de ces visions étranges. Je me dirige vers la fenêtre j'écarte la tenture pour faire entrer un peu de réalité dans cette chambre lugubre. Ce que je vois est pire qu'à l'intérieur.Le Ciel a l'air de prendre feu et d'agresser la terre, les choses et les gens. Je ne pense pas rêver cela est trop réel. La chambre c'estt mise à vibrer, je dois voir et avertir le Colonel au plus vite. Je me dirige vers le lit enfile ma veste en cuir et je prends mon sac (où se trouve tous mon matos ainsi que mon fusil d'assaut vieux reflexe appris à l'entrainement) Je vais vers la porte je l'ouvre pour aller rejoindre le Colonel.

Spoiler:

Slone se souvint au moment de sortir que le Colonel ne logeait pas dans cet hôtel mais qu'ils devaient se retrouver en fin de matinée au rez de chaussée (quatre étages plus bas)pour partir ensemble vers ce village maudit.

Toutefois, ils avaient des moyens de communications... dont bien sûr un gsm !

La porte se referma derrière le jeune homme qui se trouvait maintenant dans un long couloir menant vers d'autres chambres et ; au bout, dans un hall où on pouvait prendre l'ascenseur ou les escaliers. De l'autre côté du couloir, il y avait une fenêtre qui donnait sur la rue, au dessus de l'entrée de l'hôtel. Dehors, il y avait comme un vent de panique qui s'installait et dans certaines chambres du couloir, Slone entendit du vacarme...

Un vent de panique à l'air de se propager dans l'hotel
Priorité essayer de contacter le Colonel par GSM pour lui expliquer la situation qui se présente à moi et de prendre en charge les 2 scientifiques, donc je me dirige rapidement vers leur chambre, je ne prends même pas le temps de frapper j'ouvre la porte ou au besoin je la défonce

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'D100' :

Résultat : 22

Alors qu'il marchait rapidement (mais prudemment quand même !) dans le couloir en direction de la chambre des autres agents de cette mission qui semblait quelque peu compromise, Slone apella le Colonel...

Spoiler:

"Allo ? Greasson ? Vous êtes toujours à l'hôtel ? Rejoignez moi au plus vite à la gare !"

Slone eut à peine le temps d'expliquer sa situation. Le Colonel raccrocha très vite. Derrière lui, ça tirait des coups de feu et au loin on entendait des cris.

Slone défonça la porte de la chambre d'Angelica et Charlie et découvrit la blonde à genoux sur lui en train de lui administrer un sédatif tandis qu'il se débattait et grognait sous elle. Elle était en sous vêtements (un body noir très transparent) (son corps était parfait)et lui en pantalon, torse et pieds nus. Certaines des veines du technicien étaient teintées de noir...

"Slone, aidez moi à le tenir le temps que le sérum fasse son effet ! Merde , bougez vous !"

hurla t'elle à son encontre.

07h14...

Merde, le Colonel a déjà raccroché là où il se trouve ça a l'air de barder aussi . Allez à la gare facile à dire. Je dois absolument rester calme on compte sur moi. Pas de panique, j'ai toute ma tête et mon fidèle Berreta. Voici la porte de la chambre des scientifiques, je ne frappe même pas et d'un seul coup d'épaule elle cède (on construit solide dans le coin ), je referme vite la porte derrière moi en prenant le soin de la caler avec une chaise, on ne sait jamais. Au moment, où j'allais hurler un ordre, je me retourne.....Je reste sans voix. Première impression "Ne me dites pas que ces deux sauvages ont décidé de s'envoyer en l'air juste maintenant c'est pas vrai je suis maudit... Vision scabreuse ,Mais vu de plus près ce n'est pas le cas : Mlle WARD à califourchon une seringue à la main sur Mr DEXTER, celle-ci me suppliant de le maintenir (c'est vrai qu'il se démène comme un beau diable). les veines de DEXTER deviennent noires et se gonflent anormalement, je n'hésites pas une seconde pour l'aider, je la rejoint. décider d'appliquer à Mr DEXTER une prise d'immobilisation pour que Mlle WARD puisse continuer l'injection. J'espère que cette piqûre fasse vite son effet . On a pas trop le temps.Je demande à Mlle WARD si elle a conscience de ce qui se passe à l'extérieur.
.

"Evidemment que j'ai conscience de ce qui se passe dehors ! C'est exactement la meme chose qui est arrivé à Charlie ! Tenez le, bon sang de merde !Sa force est terrible !"

Et dès que Slone eut maintenu Charlie, Angelica lui enfonça la seringue dans la gorge, poussant le liquide avec force. Charlie en bavait mais lentement, il retrouva des couleurs plus humaines...

Il secoua la tete et invita les deux comparses à cesser de l'écraser. Il allait mieux mais était encore un peu secoué...

C'est à ce moment là ; pendant que le ciel rougeoyait et que les cris de terreur de de douleur inondaient la rue, que l'on commença à frapper contre la porte. Pas pour dire bonjour ou apporter un plateau déjeuner mais... des coups pour la défoncer.

La chaise bancale tremblait dangereusement...

Ne comprends pas très bien le sens de sa phrase quel lien entre DEXTER et les évènements extérieurs, mais il y a d'autres choses plus importantes pour l'instant, de plus j'aurai le temps de lui poser la question ultérieurement, enfin j'espère D'UNE VOIX FORTE : Allez habillez vous au plus vite et n'oubliez pas que l'on ne va pas à un gala de bienfaisance. Ne prenez avec vous que le strict nécessaire. SI VOUS AVEZ DES ARMES PRENEZ LES...
Pendant que je parle, je sépare le lit en 2 (ainsi j'obtiens 1 lit d'une personne avec le cadre, le sommier et le matelas)Je le place sur sa tranche, le positionne à +/- 1 mètres parallèlement à la porte.Je me retourne vers mes compagnons J'insiste : ALLEZ DEPECHE VOUS PAR TOUS LES SAINTS DE l'ENFER
Ayant placer le lit face à la porte comme une barricade. Je sors mon BERETTA, de son étui, je l'arme. Tout en hurlant en Russe : JE VAIS TIRER BORDEL... (Tout cela s’enchaîne rapidement)

Je me place accroupi derrière le lit, l'arme pointée vers la porte en cherchant une position stable pour tirer. J'exhorte encore mes compagnons à faire diligence. Tout en fixant la porte, je m'adresse à Mlle WARD : Y a t-il une autre porte qui donne à l'extérieur de cette chambre, (Je n'attends pas sa réponse et embraye tout de suite sur une autre question) REGARDEZ S'IL N'Y A PAS UN ESCALIER DE SECOURS A L'EXTERIEUR .

Pendant ce temps, je fixe la porte et reste vigilant. Mais qui a-t-il derrière cette foutue porte, va-t-elle encore résister longtemps??. Je pourrais utiliser mon pouvoir RAYON X, je me concentre......

Angelica laissa faire Slone en bon soldat qu'il était tandis qu'elle sautait dans son jeans et ses bottes et fourrait son brol dans son sac. Charlie fit de même le plus vite possible et s'empêtrait en enfilant ses chaussures à lacets. Il bougeonnait. De plus, comme il était encore un peu naze, il restait maladroit.

Angelica ; après avoir enfilé sa veste, sortit un pistolet automatique et jeta un oeil du côté de la fenêtre afin de regarder ce qui se passait dehors.

"Ca pue dehors, Slone ! On se croirait dans un film de Romero ! Les gens deviennent fous, même les hybrides (les métahumains qui avaient subi des transformations après 2006)se mettent à déconner. Les gens s'attaquent, se bouffent entre eux et les autres paniquent !"

Personne ne répondit à l'injonction en russe de Slone. Il y eut juste des grognements et des coups de plus en plus nerveux. On sentait le bois craquer dangereusement, la porte et la chaise avaient de plus en plus de mal à résister.

"Dehors c'est juste un balcon et quatre étages plus bas, la rue avec une horde de sauvages qui s'entretuent !"

Elle se tenait prête à tirer pendant que Charlie zippait la tirette de son propre sac et attrapa un manche de brosse dans le placard.

"Où est ton flingue ?"
lui demanda Angelica

"Impossible de mettre la main dessus, bordel !"
répondit il sur les nerfs

Slone se concentra sur son pouvoir mutant de vision à rayons X...

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'D100' :

Résultat : 84

Spoiler:

Le regard troublé, Slone ne parvint pas à concentrer son pouvoir de vue à rayons x. Entretemps, un bruit assez conséquent secoua la facade de l"immeuble à hauteur du rez de chaussée. Charlie avait jeté un coup d'oeil à la fenetre et dit :

"Un camion s'est jeté dans la facade de l'hotel ! Il est à moitié encastré et... il est rempli de sable !"

Je n'arrive à voir à travers la porte, c'est peut être mieux ainsi. Je me retourne furtivement vers mes compagnons d'infortune. Que vois-je On se croirait à DisneyLand, Dexter avec un manche de brosse. C'est tout et n'importe quoi.
Je réagis au quart de tour : " Mlle Ward aidez Mr DEXTER à retrouver son arme" d'un ton sec et sans équivoque."Ce n'est pas le moment de faire le ménage" D'un ton sarcastique.
je ne le sens pas ce DEXTER C'est peut être un bon scientifique mais alors derrière un bureau. je m'adresse à Mlle WARD; "A défaut, je lui prêterai mon poignard"
L'immeuble est secoué, j'entends DEXTER me parler d'un camion qui a percuté la façade de l'hôtel..... Pas trop le temps de réfléchir,la porte va céder d'un instant à l'autre, tant pis, je tire

Spoiler:

Angelica vint se poster à coté de Slone.

"Qu'il aille chier ! Ces merdes vont surgir d'une seconde à l'autre et vous n'aurez pas de trop de deux chargeurs à leur vider dessus. A mon avis, ils ont l'air bien nombreux. Vous tirez et pendant que vous rechargez je tire, ok ?"

Slone fit glisser son poignard jusqu'aux pieds de Charlie qui le ramassa et ouvrit la porte coulissante du balcon dominant la rue et le camion de sable. Il laissa tomber le manche de brosse et prit son sac... qu'il lança par dessus la rambarde ! Puis, il se retourna vers ses deux comparses. Slone commença à tirer...

Les balles fusèrent à travers la porte qui céda sous la pression de l'ennemi. Sa chute dévoilà les monstruosités qui envahirent l'entrée de l'appartement.



Au moment où la chaise valsa et que la porte s'ouvrit, l'une des créatures tomba au sol, inerte. Les autres se jetèrent dans l'appartement en direction des deux tireurs. Slone rechargea tandis qu'Angelica s'efforça de tirer dans la tete de ce qui semblait bien etre des zombies. Il claqua son chargeur et jeta un rapide coup d'oeil par dessus son épaule et vit Charlie enjamber la rambarde du balcon.

"Amenez vous ! Merde !"

Et il sauta. Derrière les premiers morts vivants qui se jetaient sur Slone et Angelica, d'autres venaient du couloir, alertés par les coups de feu. La situation devenait des plus délicates...

Leur nombre semblait sans fin...

La porte vient de céder, une horde de ce que je crois être des zombies commencent à envahir la chambre. Nos tirs n'ont pas l'air de trop les impressionner... Mais d'où sortent tous ces GUGUS
Je suis un peu interloqué par la réaction de Mlle WARD, elle a du chien cette nana .

J'aperçois DEXTER sauter par la fenêtre, (courage ou folie??) Ce clown a quand même du cran. Je comprends vite que la fenêtre est notre seule planche de salut.

Il faut agir vite, d'un coup de pieds violent, j'envoie le lit dans la meute de zombies, en espérant les ralentir quelque peu.....

Toujours en tirant en essayant de viser leur têtes. Je claque un ordre****: "Mlle WARD prenez nos sacs et sautez par le balcon, faites vite, je vous couvre et ensuite je vous rejoint en bas. On a pas le choix, ces créatures sont déchaînées".
Je tire encore (tirs de couverture) , en reculant vers le balcon. je ferme la fenêtre derrière moi....

D'un bref regard, j'aperçois Mlle WARD qui a atterrit dans la benne de camion remplie de sable.
Cela devrait amortir la chute (j'espère). J'enjambe la rembarde et je saute ALEAC TALES.....

D'autres morts vivants tombèrent sous les tirs de Slone et Angelica, mais il en venait encore d'autre en provenance du hall. Par chance, ils n'étaient pas très adroits même si ils ne ressemblaient pas non plus aux zombies d'une lenteur incomparable des vieux films de Romero.

Tandis que Slone balançait le lit dans leur direction (avec une force supérieure à celle qu'il se serait imaginé avoir), Angelica tira encore afin d'en faire tomber un ou l'autre et assurer une couverture à son infortuné compagnon.

Puis, ramassant les sacs, elle se précipita vers le balcon et sauta par dessus la rembarde, rejoignant Charlie Dexter dans le benne pleine de sable.

Les morts vivants devenaient dangereusement proches de Slone. Il referma la porte coulissante vitrée du balcon presque au nez du plus proche et jeta un coup d'oeil en bas tandis que la vitre était secouée des coups des créatures.

Il enjambea la rembarde à son tour, prêt à sauter quatre étages plus bas...

Spoiler:

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'D100' :

Résultat : 36

Spoiler:

Slone s'écroula comme un étron dans la benne remplie de sable du camion enfoncé dans la vitrine du restaurant de l'hôtel. Il avait failli s'exploser le crâne contre le rebord mais ça allait, à part une légère douleur à l'épaule.

Pour autant, ils n'étaient pas tirés d'affaire, Charlie, Angelica et lui ! Dans la rue, c'était le chaos. Outre quelques morts vivants qui s'attaquaient à quelques passants en fuite (par chance, à cette heure, le coin était pas bondé de monde !), il y avait aussi des gens d'allure normale (si on excepte les hybrides : homme porcs, femmes félins, elfes ou du même genre, etc) qui se battaient comme en proie à une frénésie de haine. Le ciel était rouge sang et des créatures ailées y dansaient. En face de l'hôtel, dans la vitrine d'un magasin d'electro ménager, des télévisions affichaient un drôle de logo...



Au moins, ils étaient à l'abri dans la benne... mais pour combien de temps ?

SLONE GREASSON :

Je saute Durant la chute, j'essaye au maximum de me décontracter, la réception sera moins dure. J'atterris dans la benne de sable , conséquence de la chute, une légère douleur à l'épaule, mais je survivrai comme d'habitude (du moins pour l'instant). CAR AUTOUR DE NOUS CELA CARTONNE SEC!!!! Premier réflexe, un bref regard vers mes compagnons, ils ont l'air d'avoir supporté la chute. Ensuite inspecter rapidement les environs à part les combats furieux entre les humains et les morts vivants (MEME les mutants sont de la partie). Mon attention est attirée par les TV qui se trouvent dans le magasin d'électros en face de l'hôtel. Leur écrans diffusent un étrange sigle qui me rappelle un peu des symboles nazis . Ce qui me tracasse le plus se sont s'est créatures ailées qui se baladent dans le ciel, elles peuvent en cas d'attaque se révéler dangereuses Seule solution, trouver une voiture pour rejoindre au plus vite le colonel Je m'adresse à Mlle Ward : "VITE essayez de repérer une voiture en état de rouler et pas trop loin. On a pas beaucoup de temps!!!". De mon coté, je fais de même, tout en vérifiant l'état de mon arme!!!

Spoiler:

MUTANT MASTER :
C'est alors que le moteur du camion se remit en route et qu'il commença à vibrer tandis qu'il s'extirpait de la facade en reculant.

Il heurta une jeune femme qui fuyait trois poursuivants enragés (pas des zombies : deux humains et un métahumain aux traits mongoloïdes ; avec la peau légèrement mate et brune et les dents prohiminentes). Elle chuta, presque assommée et ils se jetèrent dessus avec l'intention évidente de la brutaliser dans tous les sens du terme.

Mais qui était au volant du véhicule ?

SLONE GREASSON :

Mais que se passe t-il, c'est quoi ce bordel Le moteur du camion s'est remis en marche, déduction première: il y a donc un conducteur conscient derrière le volant!!! J'essaie de rester vigilant au maximum, malgré cette ambiance de fin du monde. Tout à coup, mon attention est attirée par l'agression d'une femme par plusieurs humains, ils n'ont pas l'air de zombies (ETRANGE) et un métahumain aux airs mongoliens basanés, il a l'air féroce avec ses dents prédominantes

Spoiler:

Que faire Intervenir c'est se faire remarquer (pour l'instant notre présence dans la benne du camion à l'air de passer inaperçue) Non, je ne peut mettre notre mission en danger

Mon esprit travaille au maximum, je fais rapidement le tri dans mes idées.
Priorité protéger mes compagnons et rejoindre au plus vite le colonel Je distribue mes ordres le plus calmement possible mais toujours fermement sans montrer le moindre effet de panique:" Mr Dexter , surveillez les alentours de la benne, et empêchez qui que se soit d'y monter. VOUS Mlle Ward Surveillez le ciel ces créatures volantes ne m'inspirent pas confiance Pour ma part, je m'occupe de la cabine du camion et surtout évitez de regarder les écrans TV!!!."
Je me dirige vers l'avant du camion, mon regard se dirige vers le rétroviseur pour voir (j’espère)la tronche du conducteur. Tout en m'approchant, je m'adresse à lui en russe: "ça va vous savez dégager le camion de la façade et quitter ce lieu d'enfer au plus vite dans notre intérêt général, vous m'entendez

Spoiler:

Spoiler:

La tension était à son comble, bien qu'ils aient échappé par miracle à un déferlement de morts vivants dans la chambre de l'hôtel. Charlie avait l'oeil attentif bien que troublé sur la rue et les créatures enragées qui y sévissaient tandis qu'Angelica (bien que veillant sur son amant) guettait le ciel où dansaient des créatures ailées. Slone se précipita vers l'avant du véhicule...

Il enjamba dangereusement la benne du véhicule qui manoeuvrait pour se remettre droit sur la route, pour s'approcher de la cabine, observant dans le retroviseur en quête de l'identité du conducteur. Et il vit un homme masqué portant un chapeau...



ce dernier ne réagit nullement aux appels de Slone, il se contentait de dégager le camion et le remettre droit sur la route pour quitter les lieux au plus vite...

Petit à petit, les créatures hostiles tournaient leur attention vers le véhicule...

Omen ouvrit les yeux sur le toit d'un immeuble (un hôtel) de huit étages, le regard tourné vers la rue en contrebas où régnait un chaos indescriptible. Le temps d'un clignement d'oeil, il eut une entière conscience de ce qui venait de se passer ici.

Spoiler:

Il eut une étrange sensation en voyant les gens dans cette benne de sable sur le dos de ce camion...

Spoiler: