Kurgan Mac Leod ... Un nouveau départ

Kurgan Mac Leod s'éveilla en ressentant l'une des pires douleurs de sa vie. Une atroce douleur mentale lui donnait l'impression que l'on déchirait son âme telle une croute purullente sur une plaie rongée par les asticots. Et cela n'était pas totalement faux ! Kurgan avait eu récemment une prescience instinctive qui lui avait indiqué l'irréalité de sa situation précédante...

Non, il n'était pas endormi dans les montagnes d'Hivernae en train de s'éloigner du château de Sigrefil, l'un de ses premiers ennemis.

Non, il ne s'était pas retrouvé dans la peau de Conquest, comme Djayala en son temps.

Non, il n'avait pas tué son frère Conrad il y a des années de cela.

Non, rien de tout cela n'était réel...

Kurgan, après avoir hurlé et s'être tordu de douleur, se laissa retomber sur le sol froid et humide. Il observa autour de lui...

Il était dans une caverne immense d'au moins quarante mètres de haut sur presque cent dans sa longueur et soixante dans sa largeur. La caverne comprenait un lac d'une noirceur impénétrable ; une sorte de liquide pateux semblable à celui qu'utilisaient certains peuples pour leurs lampes et torches. Dans cette vase étaient disposés de nombreux corps en position debout, enfoncés jusqu'au torse et recouverts sur la tête d'une sorte d'araignée avec une queue.



Kurgan était nu et recouvert d'une substance gélatineuse sombre. Il y avait non loin de lui une issue qui remontait et deux torches étaient fixées au mur. Le reste de la partie supérieure de la caverne était parsemé de sortes de champignons phosphorescents.

Dans les premiers mètres du couloir qui remontait, il aperçut le cadavre d'un garde calciné comme par le feu destructeur d'un dragon. Ce garde était équipé pour ce qu'il en restait comme un garde noir ; ceux qui travaillaient pour Conquest et Sigrefil...

kurgan se dit qu'il serait preferable d'etre vetus de ce qu'il pourrait recuperer sur ce garde que de rester avec rien sur lui et surtout trouver une arme.
et il continua son assention.

le tunnel grimpait en serpentant tantôt à gauche tantôt à droite. Il y avait ça et là d'autres torches mais la pénombre était conséquente, en bien comme en mal. Idéal pour se cacher mais aussi pour ne pas voir un piège.

Kurgan avait réussi à récupérer un gantelet duquel il avait du extraire une main carbonisée qui tomba presque en poussières et un casque derrière lequel il dissimula son visage barbu, symbolique du long moment qu'il avait du passer dans cette fange maudite ; manipulé par un sisistre individu que ses mains avaient hâte d'étrangler.



Enfin, après une longue et éprouvante remontée, l'épée du cadavre à la main, Kurgan arriva à la fin de la galerie d'où il aperçut un grand hall par delà une grille fermée mais pas verrouillée. Dans la salle, il y avait d'autres cadavres carbonisés de gardes noirs et plus loin dans un large couloir, une piste de cadavres se dessinait...

tout le monde est mort c'est etrange se dit il.
kurgan redouble sa vigillance et continua sa progression.
il voulait retrouver le proprietaire des lieux ou la personne qui l'avait enfermé ici bas.
ses seul pensées etaient de sortir d'ici et sauver sa peau.
sa vie avait souvent été compliquée il en etait las mais il ne voulait pas se laisser aller.
lui c'etait le kurgan et pas un de ces barbare stupide
il avait la rage au ventre
ses doigts se ressererent sur la garde de son étée, les muscles de ses bras etaient bandés prêt pour le combat.
et il continua sa progression.

Kurgan n'avait qu'à suivre une piste de cadavres calcinés tout au long de sa progression. On aurait dit qu'ils avaient reçu la foudre ; principalement au niveau de la tête, l'élément le plus détruit de leur corps.

Il ressentait de plus en plus clairement que le maitre des lieux était le vieux sorcier Sigrefil, qu'il avait connu à ses débuts. Mais il n'expliquait pas cette clairvoyance...

Et bientôt il arriva devant une double porte dont l'un des battants avait été défoncé. Au delà, se trouvait le sorcier dans une immense salle de magie aux lueurs verdâtres. les murs étaient pleins d'inscriptions mystiques, le sol et le plafond aussi. Sigrefil se tenait à genoux face à un puit d'où émanaient les vapeurs qui donnaient cette couleur à la salle. Kurgan arrivait dans son dos, il ne restait plus que huit mètres entre eux...

Ce dernier eut un regard par dessus son épaule.



Il grimaça, à la fois de rage de voir Kurgan libre mais aussi apparemment de douleur.

Quand Kurgan fit encore quelques pas, il sentit la pointe d'une lame piquer sa nuque. Une lame noire qui sentait le chaos... celle de Conquest ; le Seigneur Noir !

Sa voix rauque et rapeuse dit :

"Une semaine, nous te laissons une semaine ! Tu es trop faible pour te battre contre moi, Sigrefil est trop faible pour t'abattre. Un cheval a été préparé avec des équipements neufs. Prends les et va t'en ! Loin ! Evite nous et nous n'aurons que moins d'interactions. A toi de choisir : la liberté ou la mort !"

Conquest ne mentait pas, Kurgan le sentait bien...

kurgan regarda conquest dans les yeux , la haine pouvait se ressentir dans l'air.
que pouvait il faire ... tuer sigrefil et perdre contre conquest .
il se rappella d'une vieille citation encré au fond de sa memoire.
" quand la lame se fait lourde dans ta main il vaut mieux partir et vivre pour se battre a nouveaux que rester et mourrir "
kurgan ne baissa pas les yeux il tourna le dos aux guerrier et s'en alla chercher sa monture.
il enfourcha son cheval et se mit a galopper sans destination precise pour l'instant

(faire play et lire la suite de l'aventure...)


Un nouveau voyage commença donc pour Kurgan Mac Leod. L'heure était venue de découvrir ce qu'était devenu le monde durant sa captivité. Combien de temps s'était il passé et surtout oui surtout, y avait il encore âme qui l'ait connu en ces temps où il guerroyait avec son frère, avec Adam Ironwolf & les autres ? Mais chaque chose en son temps ! Il fallait d'abord survivre...

Le monde était grand, bien plus grand que le continent de Gorak. Et la presqu'île enneigée d'Hivernae et ses hautes montagnes, son hiver presque permanent, ses peuples rudes comme la roche, sa faune mystérieuse, ses brumes cachant des pics dangereux et des portes mystiques menant à des mondes étranges... tout cela n'était qu'une petite partie du continent de Gorak !

Deux jours avaient passé dans les tempêtes de neiges et les crevasses sans fond. Le cheval ; bien que robuste, commençait à ressentir péniblement les effets de la météo et du terrain instable qu'ils avaient traversé.

Mais la tempête avait fini par se calmer et c'est sous un ciel grisâtre que au loin dans la vallée (bien que cette vallée était encore bien en hauteur par rapport à la frontière avec le continent) Kurgan aperçut la capitale de la presqu'île ; la cité du nom d'Hivernae, fondée selon la légende par un dragon mort vivant gigantesque du nom de Noslen Strebor, il y a presque deux mille ans...

1 hexagone = 75 kilomètres

donc kurgan a cette vu ressentit un sentiment de soulagement .
il allait surement pouvoir prendre un repas chaud et se reposer avant de reprendre la route.

Kurgan quitta les brumes des montagnes et pénétra enfin dans la cité où il retrouva la compagnie de la vie humaine, un entourage civilisé qui n'était ni un sorcier, ni un guerrier obscur, ni des morts vivants membres de leur armée. Il était maintenant entouré de tout ce qui faisait une société... marchands, courtisanes, paysans, soldats, nobles et autres métiers communs aux êtres normaux.

Il pénétra dans une auberge et commanda un bon repas et une chambre afin de jouir d'un repos bien mérité...

L'aubergiste ; un gros bonhomme barbu à l'air jovial, semblait très attentif au bien être de ses clients, leur demandant régulièrement s'ils avaient besoin de ceci ou celà.



Outre Kurgan, l'aubergiste et ses deux servantes, il y avait peu de clients dans la salle. Un couple d'autochtones devant un bon repas, un vieillard jouant aux osselets devant une chopine, trois jeunes gens du pays se racontant des aventures en parties fictives, un soldat portant une bure par dessus son armure de maille avec un symbole que Kurgan n'avait jamais vu : une flèche pointée vers le haut entourée d'un triangle. Dans un coin, un homme du sud à la peau noire toisait discrètement le croisé en tunique...

Un gigot fumant et une chopine arrivèrent sur la table...

haaaaa soupira kurgan. je crois que je commençait a oublier ce qu'etaient les gens normaux.

quand on le servit kurgan demanda discretement ce qu'etait le signe sur le soldat, quel armée, il remercia le patron et degusta le plat devant lui.

kurgan tenait à l'oeil l'homme du sud. on ne se refait pas ... c'est dans ses gènes.

"C'est le signe de la Loi, chuchota l'aubergiste, les templiers sont partout maintenant, en croisade contre le mal !"

Le tenancier ne semblait pas trop à son aise de parler du croisé en bure. Il semblait lui faire peur...

L'homme basané ne l'avait pas plus que ça remarqué. Il était trop préoccupé par le templier...

kurgan continua son repas et ne quittait pas le scéne des yeux

Tandis qu'il mangeait, rien ne se passa de particulier. Une scène d'auberge des plus classique se déroula devant ses yeux fatigués.

Vers la fin de son repas, une serveuse lui proposa une chambre et un peu de compagnie. Elle fit un sourire en coin, comme une invitation.

Durant ce temps, le templier s'était levé et avait quitté l'établissement. Malheureusement, à cause de la faible température de la région, cette auberge était dépourvue de vitraux comme dans les grandes villes du sud et ses volets étaient fermés. Le couple se rendit à l'étage, avec d'évidentes intentions et le mystérieux basané se rendit à l'extérieur peu après le chevalier de la Loi. Il revint presque imméddiatement, le visage quelque peu haineux et retourna s'asseoir en demandant à l'aubergiste une autre bouteille d'alcool local.

Malgré quelques tensions, l'endroit avait l'air sûr...

Kurgan profita de l'hospitalité de la femme et ensuite il se reposa, fourbu d'un voyage éprouvant...

La donzelle ; qui s'était offert un petit extra de fin de service pour un prix raisonnable, s'était endormie dans les bras du colosse. Il sommeillait également à présent et les rêves eurent tôt fait de céder leurs places aux cauchemars. Kurgan rêva de son frère en train de se noyer dans une vase noire, il se revit porter l'armure de Conquest, vit Cimmerius se transformer en étoile et s'envoler vers les cieux les plus lointains... il vit tant et tant de choses... qu'il en hurla d'une impression d'atteindre le seuil de la folie. Mais il n'en fut rien ! Sans doute avait il trop forcé sur l'alcool lors de ses ébats avec la serveuse qui s'éveilla vaguement en cherchant à se retourner, bougonnant des râleries incompréhensibles...

Kurgan avait l'esprit flou, il regarda la femme à ses cotés, et songeur il se coucha en se collant à elle, lui saisissant les seins, il se colla à elle.
Les yeux ouverts il reflechit en cherchant le sommeil.

le contact chaud du corps de le donzelle redonna des envies à Kurgan, il caressa le corps avec envie.
et il remit ca. Ensuite, il reprit une bone rasade d'alcool et se recoucha.

C'est à l'aube que Kurgan s'éveilla à nouveau, lourd mais incapable de continuer à dormir. La fille n'était plus là.

D'en bas s'élevait le doux fumet de préparations pour le repas du midi et les effluves de la cuisson du pain. En dehors de ça , c'était le calme absolu. Pas un bruit à l'exception d'un corbeau posé sur le bord de la fenêtre qui se mit à piquer du bec sur le vitrail quand Kurgan le remarqua. L'animal avait un message enroulé autour d'une de ses pattes...

kurgan ouvrit la fenêtre, saisit le corbeau et prit le message, il relâcha le corbeau et se mit a lire le bout de papier.

Dehors, il faisait certes froid car en Hivernae, même le meilleur des temps était glacial, mais le soleil dans le ciel annonçait une journée idéale pour se trouver à l'extérieur et voyager.

Le corbeau une fois relâché ne quitta pas les lieux. Il se reposa sur le rebord de la fenêtre et sembla attendre...

Le message disait ceci :

Kurgan, c'est moi qui vous ai libérés ton frère et toi de l'illusion dans laquelle Sigrefil vous avait enfermé tandis qu'il se nourissait de votre force vitale. En échange, bien que je ne vous l'aie pas demandé avant, j'aurai un service à vous demander. Si tu es d'accord de t'acquitter envers moi, signe ce message et renvoie le corbeau. Alors, ce sera rendez vous sur le pic en face de la tour de Sigrefil, au pied d'une tour similaire. Sinon, brule ce message et le corbeau s'en ira.

Cimmerius

kurgan signa de son prenom le bout de papier, le fixa au bout de la patte du corbeau et l'envoyat.

il irait a ce rendez vous cela ne l'engagerais a rien pour l'instant.

kurgan mit ses vetement prit son arme et descendit au rez de chaussé, il salua les personnes presentent, et se dirigea vers l'exterieur, cherchant des empruntes ou des trace de lutte, il etait repus et reposer.
il decida que s'il ne trouvait rien, de rentrer preparer son barda et payer ce qu'il y avait a payer

Et le corbeau s'en alla rejoindre son maître...

En bas, quand Kurgan arriva dans la salle, il fut enivré par l'odeur de la bonne nourriture qui serait servie pour le midi. Elle donnait vraiment envie de se jeter dans les cuisines et de dévorer tout tout de suite !

L'aubergiste allait et venait de la salle à la cuisine tandis que la jeune femme de la veille (qui avait passé la nuit avec Kurgan) essuyait quelques gobelets au comptoir.

Il y avait le couple ; assis, toujours aussi amoureux, qui prenait le petit déjeuner, l'homme basané, à une autre table, discutait avec un gars de la région ; un genre de trappeur. Quand il vit Kurgan, il fit semblant de s'en désintéresser.

Dehors, aucune trace de lutte de la veille. Il n'y avait sans doute pas eu d'altercation entre l'étranger et le templier.

Spoiler:

donc apres avoir manger kurgan prit son barda et se dirigeat vers les tours.
se retour en arriere ne lui plaisait guerre mais il le fallait.
il ne voulait pourtant pas retourner la-bas.
la c'etait a la tour d'en face mais le danger fuit il y a peut se retrouvait directement d'actualité.
je ne resterais pas se promit il, juste une entrevue et je part.
et il se mit en route.

Le voyage du retour dans la région tant redoutée fut plus court, malgré le peu de motivation que Kurgan y mettait. Il fut également moins éprouvant car mieux préparé. Dans le ciel, virevoletaient des floppées de corbeaux qui semblaient suivre le même chemin. Kurgan avait même l'impression qu'ils étaient venus d'où lui allait, comme pour lui montrer le chemin...

Le temps passa et c'est sans encombre qu'il parvint enfin à vue des tours indiquées dans le message, dont l'une d'elle était celle où il avait été prisonnier de Sigrefil et Conquest ; plongé dans une huile noire qui l'avait fait s'imaginer un autre monde...

Il fit un détour, le poil hérissé à l'idée même d'apercevoir ses ennemis et tâcha de se rendre vers l'autre tour.

Les corbeaux semblèrent encore lui montrer le chemin et il grimpa vers des chemins qu'il n'aurait que difficilement trouvé. Et il eut alors confirmation d'un sentiment grandissant : Sigrefil manigançait quelque chose. D'un escarpement qu'il avait atteint et qui dominait la zone des tours, il aperçut une armée que son ennemi levait. Restant discret , il avança vers la tour la plus proche ; presque jumelle à l'autre. Il avait rendez vous avec un vieil ami...



Plus il s'approchait, plus il devait être discret car l'armée (composée de créatures non humaine du froid, des trolls, des orcs, des goblours et autres monstruosités, mais aussi des humains primitifs du nord et des barbares venus du continent gelé) campait jusqu'aux portes de cette tour ci. Les deux endroits étaient ils de connivence ? Après tout, il y a des années de cela , quand Cimmérius se nommais Djayala, il avait endossé le rôle de Conquest ! Et si il avait recommencé ?

Kurgan choisit alors l'entrée de la tour la plus opposée au côté où menaçait l'armée monstrueuse et il eut raison : un homme en bure mystérieux l'attendait.



"Mon maître vous attend, Seigneur Mac Leod. Veuillez me suivre."

Et ils entrèrent ; y compris le cheval, à l'intérieur de la tour colossale. Là, après avoir laissé sa monture, Kurgan grimpa d'interminables escaliers à la suite du prêtre jusqu'à atteindre une salle du trône dans les plus hauts étages.

Cimmérius attendait et avait enfin satisfaction. Des dizaines de corbeaux vinrent se poster sur le balcon qui donnait vue sur l'armée et la tour d'en face. Deux autres vinrent se dresser fièrement sur le dossier du trône. La pièce était plongée dans une espèce de brume mystérieuse qui ne sentait rien de familier...



"Salut Kurgan ! Je suppose que tu dois avoir des questions, non ? Si c'est le cas, le moment est idéal car après, ce sera à moi de demander !"

bonjour cimerius, comment va tu
que fait tu la, aurais tu recommencer a travaillé avec sigrefil ou te serais tu enfin decider a te dresser contre lui .
que me veux tu ?
ne trainons pas ... je ne veux pas m'eterniser ici.

"Cela fait un bout de temps maintenant que je ne suis plus ni pour ni contre Sigrefil. Bien sûr, tu as raté une bonne partie de mes dernières mésaventures mais je vais te résumer ma situation actuelle : durant les dernières années qui ont précédé mon état actuel, j'ai fait de nombreuses découvertes et me suis éveillé à de toutes aussi nombreuses révélations sur les secrets du monde et ses origines. Inutile que je t'embrouille avec des détails. Saches juste que cela m'a transformé. J'ai gagné en puissance et mon esprit s'est éveillé à un niveau de conscience supérieur. J'ai un but, une quête ; irréalisable jusqu'ici, digne de l'épreuve d'un dieu, qui est la seule chose d'importance valable pour le moment. J'ai un pouvoir immense ; qui m'a notamment permis de te sortir de ta prison, ainsi que ton frère. Rassures toi, il est en forme, en sécurité. Et pour payer ta dette, je vais te demander deux choses, après nous serons quittes et je ne te reverrai qu'à ta demande. D'accord ? Voici ces deux choses :

-Tue toute personne qui défendra l'idée du monothéisme.

-Ne cherche pas à revoir ton frère Conrad et ce d'aucune manière, ne provoque même pas le risque qu'il cherche à te revoir.

Si cela se produisait et que l'un de vous deux en soit responsable, j'annulerais mon geste envers vous. Marché conclu ? Je ... suis désolé Kurgan, je suis ... un Cimmérius futur de celui que tu connais. Qui sait ? Peut être qu'il ne deviendra jamais moi..."