Tout recommence dans un cri de douleur. Le mien.
*monologue*
"cette brute a dechiré le continum.
Je ne sait pas ou je suis...Ca fait des bulles a l'interieur de moi.
J'ai emit un sons. Je parle, j'ai un corp."
omen ouvre les yeux, ne reconnaissant pas immediatement le ventilateur de plafond. Il s'absorbe dans le mouvement tournant. Sa logique s'active, les deductions et theories se succedent, s'aligne et s'efface aussitot
"Il fait chaud, je doit avoir chaud"
une fine pelicule de sueur apparait sur sa peau.
Un long moment passe. Le bruit des pales diluant progressivement la realité autour d'Omen. Il s'endort.
Eveil.
"Je me suis encore endormi par terre...Le jour est levé...Je...Je doit..."
omen se redresse assit et se prend la tete a deux mains, sous ses paumes, ses cheveux courts crissent
"Doit...me laver les dents...Sinon, maman va me gronder..."
Le grand jeune homme se leve d'un bond souple et detaille l'apartement vetusque...aucun meuble, de la poussiere partout, des murs delavés dont le papier peint, afreuse decoration jadis dorée, pend, menacant a chaque instant de s'effondrer..
"Maman est partie. Elle a prit ma brosse a dent"
Omen ajute d'un geste sec le col de son long manteau sombre et se dirige vers la porte.
*monologue*
"cette brute a dechiré le continum.
Je ne sait pas ou je suis...Ca fait des bulles a l'interieur de moi.
J'ai emit un sons. Je parle, j'ai un corp."
omen ouvre les yeux, ne reconnaissant pas immediatement le ventilateur de plafond. Il s'absorbe dans le mouvement tournant. Sa logique s'active, les deductions et theories se succedent, s'aligne et s'efface aussitot
"Il fait chaud, je doit avoir chaud"
une fine pelicule de sueur apparait sur sa peau.
Un long moment passe. Le bruit des pales diluant progressivement la realité autour d'Omen. Il s'endort.
Eveil.
"Je me suis encore endormi par terre...Le jour est levé...Je...Je doit..."
omen se redresse assit et se prend la tete a deux mains, sous ses paumes, ses cheveux courts crissent
"Doit...me laver les dents...Sinon, maman va me gronder..."
Le grand jeune homme se leve d'un bond souple et detaille l'apartement vetusque...aucun meuble, de la poussiere partout, des murs delavés dont le papier peint, afreuse decoration jadis dorée, pend, menacant a chaque instant de s'effondrer..
"Maman est partie. Elle a prit ma brosse a dent"
Omen ajute d'un geste sec le col de son long manteau sombre et se dirige vers la porte.